jeudi 2 août 2012

Avez vous déjà vu une mercédès contrefaite ?


Rien n’échappe à la contrefaçon et à l’imitation.
Tous les secteurs et les domaines de la vie économique, y sont touchés.
Agroalimentaire, électronique, sport, vêtements, chaussures, cosmétiques,  parfumerie et même les véhicules sont des cibles.
La contrefaçon concerne les marques, les modèles, les designs et les inventions.
Ce fléau est mondial et existe un peu partout dans le monde.
Aux USA et dans les pays de l’Europe, les vendeurs à la sauvette sont les spécialistes de la vente des produits de la contrefaçon. Il s’agit donc d’un commerce de contrebande organisé, malgré la veille permanente des autorités.
Le manque à gagner est énorme et se chiffre à des millions de dollars annuellement.
Certains pays dont le commerce a une ramification internationale, percent dans cette activité prohibée, au point où les produits de ce commerce sont souvent caractérisés par le danger sur la santé ou sur la sécurité.
Les efforts mondiaux sont gigantesques mais restent en deçà des espérances.
Voici ci-après quelques exemples de contrefaçons.



Imitation frauduleuse des modèles de la MINI AUSTIN, de la BMW et de la MERCEDES :


Imitation frauduleuse des marques ADIDAS, PUMA, NIKE, FILA, LACOSTE, ARMANI et D&G:



 Imitation frauduleuse des marques PANASONIC, SONY, PLAY STATION, APPLE et  NOKIA,




Imitation frauduleuse des marques de parfum BOSS et LACOSTE



Imitation frauduleuse du modèle de la bouteille COCA COLA


Ce qui est important à noter c’est que certains produits contrefaits sont caractérisés par une qualité irréprochable et qui pousse à s’interroger pourquoi les producteurs ne développent pas leurs propres marques.
La réponse n’est autre que la recherche rapide du gain, dans la mesure où le but est de vendre ce qui est connu par le consommateur sans perdre de temps.
En effet, le fait de développer sa propre nécessite la mise en place d’un fort budget de communication et de publicité et également un budget pour la protection de la marque, du modèle ou de l’invention à une échelle internationale.
N’y a-t-il pas de solutions intermédiaires ?
Si, effectivement il existe le moyen de la fabrication sous licence, qui peut être exclusive ou non exclusive.
Cette manière de procéder offre la sauvegarde de l’intérêt du détenteur du droit de la propriété industrielle et donne la possibilité aux licenciés de gagner de l’argent légal en vendant des produits originaux et contribue à l’organisation du commerce et de sa transparence.




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